Randy Starkman

Pour de nombreux Olympiens canadiens et athlètes des équipes nationales, Randy Starkman était le journaliste en qui ils avaient le plus confiance pour raconter leurs histoires et dévoiler leur côté humain aux partisans qui les voyaient si souvent comme des héros. Ses collègues l’ont qualifié de « référence absolue des journalistes couvrant le sport olympique au Canada ».

Pour Starkman, écrire sur les athlètes amateurs était une passion permanente, ce qui le séparait de ceux qui se concentrent uniquement sur les athlètes olympiques pendant une période de deux semaines tous les deux ans. Il était réputé pour sa préparation, ses recherches et la manière dont il nouait des liens avec les familles des athlètes et leur réseau de soutien afin de pouvoir raconter leur histoire de la manière qu’elle méritait d’être racontée. Bien qu’il était compétitif, cherchant toujours à trouver l’histoire qui échappait aux autres, il était tout aussi disposé à partager ses vastes connaissances avec ses collègues journalistes.

Starkman a couvert 12 Jeux olympiques pour le compte du Toronto Star, en plus d’innombrables autres compétitions mondiales et nationales, et a remporté deux prix du Concours canadien de journalisme. Il est décédé subitement en avril 2012, à l’âge de 51 ans, des suites d’une pneumonie.